Skip to content Skip to left sidebar Skip to right sidebar Skip to footer

Nouvelles de la commune

LUTTONS ENSEMBLE CONTRE LES MOUSTIQUES

RECOMMANDATIONS GENERALES CONCERNANT LE MOUSTIQUE TIGRE
A L’ATTENTION DU GRAND PUBLIC

Il existe différents types de moustiques,
dont le « moustique tigre », le « nuisant » peint en blanc (nom scientifique Aedes albopictus), reconnaissable à sa silhouette noire et à ses rayures blanches, sur l’abdomen et les pattes. Il est généralement en activité de mai à novembre, en fonction de la température et de la luminosité.
Ce moustique est un vecteur de maladies infectieuses : Chikungunya, Dengue et Zika.


Un moustique urbain qui vit près de l’homme
Le moustique « tigre » vit au plus près de chez nous. Il est de petite taille, environ un demi-centimètre. Il se déplace peu, et reste la plupart du temps dans un rayon de 150 mètres. Il naît et vit chez nous, près de nos habitats, en zone urbaine principalement. Il nous pique toute la journée, avec un pic à la levée du jour et au crépuscule, pond ses oeufs dans les eaux stagnantes et se repose à l’ombre des arbres.

Et se développe dans de petits volumes d’eaux stagnantes
Les femelles pondent leurs oeufs (jusqu’à 250) dans des petits volumes d’eaux stagnantes, même propres (moins de 10 litres) que l’on trouve sur nos balcons et nos jardins : vases, soucoupes, gouttières mal vidées, pneus usagés mais aussi creux d’arbres ou plantes tropicales susceptibles de retenir l’eau. Les larves peuvent même se développer dans un bouchon de bouteille rempli d’eau !
Ces gîtes, créés par l’homme, sont les principaux lieux de ponte de ces moustiques. Les moustiques sont en activité du printemps à l’automne. Toutefois, les oeufs pondus peuvent résister plusieurs mois au froid et à l’assèchement et éclore lorsque les conditions climatiques sont à nouveau favorables (chaleur, luminosité). 80% des gîtes larvaires se trouvent concentrés dans l’habitat individuel, c’est pourquoi la mobilisation sociale est déterminante pour limiter la prolifération de ce moustique. La suppression des gîtes larvaires passe par plusieurs gestes simples :

  1. Supprimer toute eau stagnante au domicile et autour ;
  2. Vider les vases, les soucoupes des pots de fleurs ou les remplir de sable humide ;
  3. Supprimer ou vider régulièrement les petits récipients pouvant contenir de l’eau dans les jardins : 2 fois par semaine ;
  4. Rendre les bidons de récupération d’eau de pluie inaccessibles aux moustiques (les couvrir d’une moustiquaire ou d’un tissu fin), retourner les arrosoirs ;
  5. Prévoir une pente suffisante pour que l’eau ne stagne pas dans les gouttières, veiller à la bonne évacuation deseaux de pluie ;
  6. Ranger à l’abri de la pluie tous les objets pouvant contenir de l’eau : pneus, bâches plastique, jeux d’enfants.
    Le cycle de développement du moustique tigre
    Il se développe en quatre étapes : œuf, larve, nymphe et adulte.
    Le développement des œufs s’étend de 7 à 20 jours, en fonction de la température. Plus il fait chaud, plus le développement des œufs est rapide. Seules les femelles piquent. La durée de vie du Moustique est de 30 jours.

Le cycle de développement du moustique tigre
Il se développe en quatre étapes : œuf, larve, nymphe et adulte.
Le développement des œufs s’étend de 7 à 20 jours, en fonction de la température. Plus il fait chaud, plus le développement des œufs est rapide. Seules les femelles piquent. La durée de vie du Moustique est de 30 jours. Agence régionale de santé Paca – DSE/SPF/VSS – Mai 2021

Une grande faculté d’adaptation au climat tempéré
Originaire d’Asie du sud-est et de l’Océan Indien, le « moustique tigre » s’étend progressivement à la surface de la planète depuis une trentaine d’années, majoritairement en zone urbaine. Ses caractéristiques biologiques lui permettent en particulier de s’adapter aux climats tempérés.
Installé dans plusieurs régions d’Italie depuis 20 ans, venant d’Albanie, il a été observé pour la première fois dans le sud-est de la France en 2004. Depuis, il est définitivement implanté en France. C’est pourquoi il est important d’apprendre à vivre avec. Les spécialistes s’attendent à ce qu’on le trouve à moyen terme sur tout le pourtour méditerranéen sud européen et au sud de l’Europe du Nord.

Une expansion favorisée par les transports
Cette expansion est favorisée par ses capacités d’adaptation, par le développement des échanges internationaux et, en particulier, par le commerce de pneus usagés, qui est le mode de dissémination principal de cette espèce à travers le monde.
Le mode de dispersion principal entre continents est le transport des oeufs dans des pneus usagés de poids lourds, destinés au rechapage et stockés à ciel ouvert. Ce commerce est très actif entre l’Asie, les États-Unis et l’Europe. En France, plusieurs centres de stockage de pneus usagés se sont révélés infestés par ce moustique.
La surveillance et les traitements immédiatement appliqués ont permis de ralentir la prolifération du moustique par ce biais.
Autre mode de dispersion de l’espèce, sur de courtes distances : le transport «passif», par véhicules terrestres (autos, bus, trains, etc.) ou moyens aériens (avion de ligne, cargo). Dans les zones infestées, les moustiques femelles, à la recherche d’un repas sanguin, suivent les humains et entrent dans les moyens de transport. Ils en ressortent lors des arrêts (zone de transit, parkings, aires d’autoroutes…) et, s’ils trouvent des gîtes larvaires à proximité, prolifèrent dans un secteur jusque-là indemne et s’y installent durablement.

VISITE AU CHÂTEAU DE LESDIGUIERES

VISITE AU CHÂTEAU DE LESDIGUIERES

Ce jeudi 15 juin, 35 personnes de l’Association du Musée du Trièves basé à Mens sont venus visiter le site de Lesdiguières.
C’est dans l’ancien four banal du village que les visiteurs ont eu des explications sur le château
grâce à la maquette d’Edouard ROUX.
Ils ont pu se rendre compte sur place de l’ampleur du site et voir les travaux engagés cette année. 

RESTAURATION AU CHÂTEAU DE LESDIGUIERES

AU CHÂTEAU DE LESDIGUIERES, LA RESTAURATION CONTINUE…

Une nouvelle tranche de travaux a commencé il y a quelques semaines. Elle vise à consolider et à sécuriser le lieu. Boris Chanéac, le chef de chantier, déclare : « Je suis ravi d’être là. Cela fait 2 ans depuis le début des travaux et la chapelle est maintenant sauvée ». Il poursuit « les 5 ouvriers sur place ont été formés par le Gabion et sont des OPRP (Ouvriers Professionnels dans la Restauration du Patrimoine). Ils vivent dans la vallée du Champsaur « ». C’est la même entreprise, la société SMBR, qui continue le chantier.

Quels sont les travaux ?
– Le mur d’escarpe 
L’architecte du patrimoine Sylvestre Garin précise les différentes phases :
« Le mur d’escarpe ouest est sur le point d’être achevé. 26 m³ de pierre ont été déconstruits et rebâtis. Pour des questions de stabilité et de sécurité, nous les avons retirés et remis en place. La maçonnerie a été renforcée en injectant du coulis de chaux et le mur a été reconstruit à la chaux avec les matériaux et les pierres du site tombées au pied du mur. Le mur est arrêté à l’endroit que nous connaissions. Nous n’avons pas créé un mur hypothétique dont nous ne connaîtrions ni la position, ni la hauteur, ni l’épaisseur. Nous allons maintenant terminer les finitions des joints et les rejointoyer entre les pierres. Nous avons marqué et restitué les trous de boulins, qui sont des trous correspondant à d’anciens emplacements d’échafaudages antérieurs, voire originels, qui ont permis de construire l’ouvrage ».
– Les enduits 
L’architecte poursuit : « Nous allons ensuite nous concentrer sur la restauration des enduits de la chapelle, à la fois sur le pignon nord, le mur gouttereau est et le pignon sud. Nous devons avancer en fonction de la température, car c’est la période propice pour réaliser des enduits corrects ».



– La tour 
« Le rapport des archéologues d’Arkemine a été établi et est en cours d’étude auprès de la DRAC et du SRA (Service Régional d’Archéologie). Nous devrions avoir une validation très prochainement, ce qui permettra de poursuivre les travaux. Nous allons déconstruire et reconstruire une partie plus substantielle dans la tour pour la sécuriser », note Sylvestre Garin.

Les travaux devraient durer jusqu’en d’octobre. La chapelle, le mur et peut-être la tour seront sécurisés.
Dans quelques jours, pour la 11e année consécutive, le centre de chantier de jeunes internationaux du « Village des Jeunes » interviendra pendant 3 semaines, du 10 au 31 juillet. Cette année, le château sera plein de vie.
A.C.

ARRÊTES PREFECTORAUX CHASSE

ARRÊTES PREFECTORAUX CHASSE

CONSULTATION DU PUBLIC SUR LES PROJETS D’ARRETES-CADRES CHASSE 2023-2024

Article créé le 27/04/2023 par la DDT 05, le service de l’Agriculture & des Espaces rurauxMis à jour le 27/04/2023

Synthèse des observations sur les projets d’arrêtés-cadres relatifs aux 3 plans de chasse (grand gibier, grand gibier dans les réserves de chasse et de faune sauvage et galliformes de montagne) et aux 2 Plans de Gestion Cynégétiques pour la saison 2023-2024 dans les Hautes-Alpes.

Comme suite à la loi n° 2012-1460 du 27 décembre 2012 relative à la mise en œuvre du principe de participation du public (modifiant le code de l’environnement) pour les décisions publiques ayant une incidence sur l’environnement, une consultation du public sur le projet d’arrêté doit être conduite afin de recueillir les remarques éventuelles. Cette consultation doit se faire par voie électronique sur le site internet des Services de l’État.

Le projet d’arrêté est mis en consultation pendant 21 jours, par voie électronique sur le site internet de la Préfecture (Hautes-Alpes) du 21/03/2023 au 10/04/2023 inclus.

Les documents mis en ligne sont :

  • une note de présentation,
  • 3 projets d’arrêtés préfectoraux qui découlent du nouveau Schéma Départemental de Gestion Cynégétique (SDGC) 2022-2028 :
    • Arrêté-cadre relatif à la mise en œuvre d’un plan de chasse grand gibier dans le département des Hautes-Alpes ; AP cadre plan de chasse grand gibier en RCFS (format pdf – 238.1 ko – 25/04/2023)
    • Arrêté-cadre relatif à la mise en œuvre d’un plan de chasse grand gibier dans les Réserves de Chasse et de Faune Sauvage (RCFS) dans le département des Hautes-Alpes ; AP cadre Plan de chasse galliformes (format pdf – 952.9 ko – 25/04/2023)
    • Arrêté-cadre instaurant un plan de chasse annuel galliformes de montagne pour la saison cynégétique 2023/2024 ; AP cadre plan de chasse grand gibier (format pdf – 1.5 Mo – 25/04/2023)
  • les projets d’arrêtés préfectoraux et leurs annexes respectives d’approbation des Plans de Gestion Cynégétique (PGC) 2023/2024 pour :

SORTIE CAMARGUAISE POUR LE CLUB ST CHRISTOPHE

SORTIE CAMARGUAISE POUR LE CLUB ST CHRISTOPHE

Ce 6 Juin à 4h3O, 15 membres du Club St Christophe ont pris la route pour la Camargue avec le car Bernard de Gap direction La Camargue.
Une croisière sur le petit Rhône avec plusieurs arrêts pour admirer la faune sauvage et voir le travail des manadiers à cheval pour rassembler les taureaux dans ce magnifique paysage camarguais.
Le groupe du Club St Christophe a pris un bon repas dans une manade avant d’aller visiter les Saintes Maries de la mer.
C’est après une belle journée riche en découvertes et visites que le retour s’est effectué vers 20h.